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Les Entrailles de Narcisse

Les Entrailles de Narcisse

LES ENTRAILLES DE NARCISSE

solo
- 2001 -

Partir en quête de soi-même en s'attaquant d'emblée à l'essentiel : l'organisme, la mécanique du corps, la chimie du cerveau, les transferts de fluides, la triade os-muscle-articulation. De la remise en question systématique de chacun de ces éléments peut naître un univers imaginaire sans limites, sorte d'extrapolation métaphysique du schéma corporel. Créée au festival Les Hivernales d'Avignon, la pièce revisite le mythe de Narcisse et Echo d'un point de vue réflexif : Narcisse est plutôt fasciné par les profondeurs insondables de son corps que subjugué par son image. Il n'est donc pas un personnage tragique ; il symbolise au contraire cette capacité à échapper au bruit ambiant (Echo) pour se retirer en soi-même, se concentrer sur l'essentiel. Si Narcisse avait pu contempler son corps de l'intérieur, l'aurait-il fait? Deuxième volet du « RiverTriptyk », ce solo s'inscrit dans la continuité de "Rivermen", duo dans lequel danse et vidéo s'interpénètrent.

Vidéo

LES ENTRAILLES DE NARCISSE

Distribution

Concept

Bud Blumenthal

Antonin De Bemels

Chorégraphie

Bud Blumenthal

Interprétation

Bud Blumenthal

Création vidéo

Antonin De Bemels

Musique

Cédric Stevens

Lumières

Philippe Catalano

Bud Blumenthal

Costumes

Sandrine Walter

Décor

Bud Blumenthal

Historique des représentations

16 FEVRIER 2008

12-13 OCTOBRE 2001

18 FEVRIER 2001

27 FEVRIER 2001

11 MARS 2001

31 OCTOBRE - 10 NOVEMBRE 2001

26 FEVRIER 2002

28 FEVRIER 2002

5-7 MARS 2002

9 MARS 2002

15 MARS 2002

21 MARS 2002

Coproduction

Production : Cie Bud Blumenthal / Tandem asbl en co-réalisation avec Les Hivernales d’Avignon et avec l’aide du Ministère de la Communauté française de Belgique, Service de la danse, du CGRI et de l’Ambassade de France à Bruxelles.

Presse

Bud Blumenthal donne avec Les Entrailles de Narcisse de puissantes variations sur l’image de soi et l’image tout court. Avec une bouleversante et une intense intelligence du mouvement, ce qui, compte tenu de la virtuosité du personnage n’est pas un moindre effort, Bud Blumenthal conduit à se demander ce que signifie l’attrait de la plastique, le goût pour le canon esthétique, sans jamais s’en tenir à une confrontation de l’image ou à la représentation.

Philippe Verrièle - Les Saisons de la danse
1 MAI 2001

© Compagnie Bud Blumenthal / Hybrid ASBL

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