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Révue de presse

FEMMES D'AUJOURD'HUI

Myriam Berghe - Femmes d'aujourd'hui
3 MARS 2014

BUD BLUMENTHAL, ENTRE LA BOUGIE ET LES PHOTONS

…ce solo veut croire en une cohabitation harmonieuse entre l'humain et les inventions numériques toujours plus sophistiquées.

(...)

Dans ce paysage instable qui joue parfois la confusion entre la réalité et le virtuel, le corps et la danse deviennent les véhicules d'un dialogue insolite entre la bougie et le détecteur de photons. Bud Blumenthal se faufile entre les couches d'images qui métamorphosent le sol en une zone inconnue, résiste à leur impact, s'adapte à leurs changements permanents rien qu'en dansant, sans cesse, beaucoup, passionnément. Il finit même par générer son propre environnement grâce aux caméras infrarouges qui transforment chaque mouvement en éventail de vibrations lumineuses.

Rosita Boisseau - LE MONDE
13 FEVRIER 2014

DECLINAISON DE PHRASES

Spectacle imprévisible donc, joyeux par nature et complice par nécessité de la grande écoute qui doit, chaque soir, s'instaurer entre danseurs et musiciens. Chaque interprète devient un membre à part entière, questionnant son rapport à l'autre.

Marie Baudet - La Libre Belgique
10 DECEMBRE 2008

VOYAGE DANSE AU PAYS DES ONDES

S'inspirant des instruments à cordes, il livre un spectacle où les danseurs vibrent à l'unisson des instruments, construisant une chorégraphie véritablement musicale .(...)

Musique live, sons enregistrés, images se déployant sur grand écran, tout concourt à créer une atmosphère étrange dans un univers comme suspendu entre ciel et terre.

Jean-Marie Wynants - Le Soir
27 NOVEMBRE 2008

"STANDING WAVE", DANS LA GEOGRAPHIE DU SON

(Le son) diffusé via "souffle actif", trace une géographie singulière, aux reliefs à la fois précis et impalpables.

Quant à la danse, en quatuor elle aussi, elle cultive le mouvement continu, elle ose les ruptures, elle habite l’abstraction mais refuse la désincarnation (...).

Il y a de la séduction et de la solitude, de la violence et de la tendresse dans la chorégraphie de Bud Blumenthal. Et des échappées organiques ou cosmiques dans le "Standing", projection d’images 3D évoquant tant le réseau que l’infini.

Marie Baudet - La Libre Belgique
27 NOVEMBRE 2008

Bud Blumenthal propose un spectacle total, d'un genre nouveau. Abstrait et enlevé, entre représentatopn plastique et quatuor à cordes live.

- Mosquito
19 NOVEMBRE 2008

DANSE AVEC LES ONDES

Il avait envie, une envie irrépressible, d'abstraction. Entrer dans l'espace de création, son atelier, avec quatre danseurs, un quatuor à cordes, un compositeur, ses partitions, des collaborateurs. Puis "créer à partir d'un espace neutre, de rien". Telle était l'intention primitive de Bud Blumenthal, chorégraphe, danseur, pionnier des nouvelles technologies, maieur de genre et créateur ultra-attentif à la cohérence poétique. Mais Bud et sa compagnie sont des êtres faits de chair et de sang, de pleurs, de sueur, de coeur et de corps de danseurs. Alors forcément, sa pièce n'est pas restée froide, abstraite, indifférente. L'humain, le charnel, le relationnel a exsudé (...).

Anne-Françoise Moyson - Weekend - Le Vif
7 NOVEMBRE 2008

Dans un jeu de corps à corps, une réelle complicité transparaît chez ces deux amis si semblables physiquement et artistiquement. Les artistes se répondent en solos parallèles, se repoussent arqués l’un contre l’autre ou se supportent l’un l’autre. Comme les mouvements, le regard évolue, découvre de nouvelles lectures. On en vient à espérer revoir la boucle du début tant elle nous paraîtra différente

Catherine Makereel - Le Soir
30 MAI 2007

L'Américain de Bruxelles, féru de vidéo et de nouvelles technologies, retrouve les forces vives du geste dans un quatuor intitulé 'Standing Wave'. Les thémes en sont crus et nets : désir, conquête, violence, séduction. Jusqu'à la soumission, la manipulation, l'amour, la mort? Bud Blumenthal sait conduire un mouvement souple, puissant, mystérieusement animal, qu'il prolonge avec des images de synthèse. Un brin d'abstraction dans un bain charnel pulsionnel.

Rosita Boisseau - Télérama - Sortir
13 FEVRIER 2007

BUD BLUMENTHAL, LA POESIE EN MOUVEMENT

Six danseurs évoluent avec une légèreté et une fluidité absolue dans un espace qui semble constamment flotter entre rêve et réalité.

L'image est belle et dépouillée, à l'instar de la majeure partie d'une chorégraphie où l'alliance des corps, les images filmées et le son forment un tout.

Jean-Marie Wynants - Le Soir
3 AVRIL 2004

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Les Reflets d'Ulysse

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Sorte de rencontre entre Afrique et Occident,

Groundscape nous magnifia une plasticité corporelle qui engendre espace à perte de vue et dynamique gestuelle de haut vol

Roger Pierre Turine - La Libre Belgique
4 NOVEMBRE 2003

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Groundscape

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Ici, l'équilibre semble s'établir entre un propos qu'on pourrait dire abstrait et des personnages très concrets, sans que la narration tombe dans l'anecdotique ou le verbiage. La concentration sur l'individu interprète libère le danseur de toute représentation. Attachants, les trois danseurs (…) prennent le temps du spectacle pour apprendre à vivre ensemble. La danse, la musique et l'image (projetée sur un écran modulable) font cause commune sur le terrain de l'organique, parfois du microscopique.

Marie-Christine Vernay - Libération
1 JANVIER 2002

Bud Blumenthal donne avec Les Entrailles de Narcisse de puissantes variations sur l’image de soi et l’image tout court. Avec une bouleversante et une intense intelligence du mouvement, ce qui, compte tenu de la virtuosité du personnage n’est pas un moindre effort, Bud Blumenthal conduit à se demander ce que signifie l’attrait de la plastique, le goût pour le canon esthétique, sans jamais s’en tenir à une confrontation de l’image ou à la représentation.

Philippe Verrièle - Les Saisons de la danse
1 MAI 2001

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Les Entrailles de Narcisse

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 … gestuelle sans fioriture, économique, allant à l’essentiel, proche par instants, et dans sa pureté, de la statuaire grecque. 

- L'Hebdoscope
1 MAI 2000

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Rivermen

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… impressionnant poème dansé, pulsation délicate et sauvage teintée d’un fluide défi, imprimée sur l’impalpable puissance d’une scénographie en vidéo. Remarquable.

MArie Baudet - La Libe Belgique
1 JANVIER 2000

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Rivermen

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Avec des lumières qui créent des effets puissants, Blumenthal exécute un tour de force physique que n’alourdit aucun pas de danse conventionnelle

Mike Dixon - Dance Europe
1 AVRIL 1997

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24 Haikus

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Avec «24 Haikus», Bud Blumenthal explore les relations entre chorégraphie et poésie, créant un langage où le mouvement est roi...»

Jean-Marie Wynants - Le Soir
15 JANVIER 1997

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24 Haikus

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